Le tumulte de la vie m’a ensuite emportée à l’âge adulte au rythme incessant de l’ère moderne, oubliant les racines de mon enfance.
C’est alors que j’ai rencontré le Yoga, dans la torpeur de ma vie active. Je le pratiquais d’abord comme un loisir, de manière hebdomadaire.
Observant qu’une reconnexion commençait à s’opérer, j’explorais de nouvelles sensations, une réappropriation de mon corps et de l’espace que mes pensées pouvaient occuper. L’anxiété s’est tue en moi.
Le yoga est devenu sans y prendre garde une pratique quotidienne faisant partie intégrante de mon hygiène de vie.
Dans le but d’approfondir mes connaissances, je me forme ensuite en tant que professeur de Yoga dans une démarche tout d’abord personnelle.
C’est alors que je rencontre l’ayurvéda, intimement lié au yoga, qui m’a donné envie d’aller plus loin dans la compréhension du lien entre le corps et l’esprit.
Tout prend un sens alors pour moi.
De là naît mon envie de me former en tant que thérapeute corporelle au sein de l’Institut Européen des sciences védique. A mon sens, ces outils sont une réponse directe aux limites de la médecine moderne.